Yes or No ?


Le Premier Ministre britannique nous a fait part qu'il allait demander aux britanniques en 2015 par le biais d'un référendum si son pays voulait rester au sein de l'Union européenne.

Pourquoi attendre si longtemps pour faire parler le peuple !



Si les Britanniques font partis de l'Union européenne, ils doivent en accepter l'ensemble des droits et devoirs comme chaque citoyen européen.



On constate déjà aujourd'hui que les Britanniques ont des conditions spéciales pour être dans l'Union européenne. ils ne participent pas à Shengen, l'Euro, etc... Ils utilisent l'union n'ont pas comme une vision intégrationniste de l'Europe mais comme des commerçants qui profitent d'un marché, tout en gardant son indépendance de décision.



Si le Général DE GAULLE a refusé aux britanniques de rentrer dans l'Europe : il avait raison. Il les connaissait bien. Il savait qu'ils chercheraient de transformer l'Unification européenne seulement comme une zone de libre échange.


On voit aujourd"hui à cause des britanniques en particulier, que l'Europe est à la carte et non plus un modèle démocratique d'unification des populations en Europe.



Il ne faut pas attendre 2015 pour faire un référendum car c'est prouver l'hypocrisie des britanniques qui reportent l'échéance de façon à pouvoir obtenir encore des conditions particulières en gagnant du temps.

Aujourd'hui il faut demander aux britanniques s'ils acceptent de faire partie intégrante de 

l'Union européenne et en particulier d'accepter Shengen, l'Euro, etc... dans le sens d'une unification politique te économique de l'Europe.


S'ils dissent "NO" et bien, ce sera comme dans un couple, ce serra un divorce " A l'anglaise".

Ils quitteront définitivement l'Union.


A l'avenir il faudra dire a tout pays qui voudra faire parti, qu'il accepte intégralement les avantages et les inconvénients de l'union.



Aucune négociation pour faire partie de l'Union européenne ne devra briser les bases de l'Union qui sont intégration politique et économique.


                                 Ecrit à Paris par GOBILLON Michel, le 11 février 2013.

Aucun commentaire: