Lorsque l’on voit
aujourd’hui, le gouvernement de l’Etat français cédé devant Monsieur MITTAL
pour l’affaire de Florange, on a le droit d’être révolté.
On voit que le pouvoir
économique d’un seul homme qui représente un monopole mondial dans un secteur
qui peut être clef pour l’économie de l’Europe, met à genou le pouvoir
politique d’un Etat.
On ne peut pas accepter que
le pouvoir économique prône sur le pouvoir politique.
C’est la raison pour laquelle
on peut dire que « Le pouvoir
politique qui représente les citoyens doit toujours être le maître devant le
pouvoir économique représentant l’argent.
Le pouvoir économique
monopoliste rend esclaves les citoyens européens.
Ceci doit nous révolté !
L’Economie doit être encadré
par des lois de l’Union européenne
respectant la dignité du citoyen européen.
On appelle ceci «
Européanisation « de l’économie. Dans chaque secteur, on doit interdire
la formation de groupe économique représentant un monopole.
Dans chaque secteur, on doit
obligatoirement avoir au moins 3 sociétés concurrentes dans les mains de
citoyens européens différents car la concurrence est bénéfice de progrès
social.
De plus dans le capital de
ces grosses sociétés, la répartition doit se faire de la façon suivante :
un tiers aux mains de l’Etat européen, un tiers aux mains du personnel ayant au
moins 3 ans d’ancienneté dans l’entreprise et un tiers aux mains des
investisseurs.
Ainsi on aura une diversité
des actionnaires dons une démocratisation économique du pouvoir car aucun des
acteurs économiques auront la majorité.
Le capital se décomposant en
actions au porteur nominatives au nom exclusivement de personnes
physiques.
Les personnes morales ne
pourront pas jouir de la possession de ces actions.
On pourra donc voir à qui
appartient physiquement les actions.
Ce système permettra beaucoup
d’avantages.
L’Etat étant propriétaire
d’un tiers du capital aura, comme les autres tiers, le droit de blocage des
décisions si elles sont contraires à l’intérêt de la société et profiter des
dividendes s’il y a des bénéfices donc une forme d’impôts indirect, donc
indolore pour les citoyens.
Le personnel pourra voir son
avenir en participant aux décisions prises par les assemblées générales,
évitant ainsi les grèves souvent néfastes au personnel et à la société,
profiter des dividendes qui donneront une augmentation de salaire par cette
nouvelle forme de participation active.
Quant aux investisseurs, ils
seront ainsi a qui appartient les autres actions donc une grande visibilité et
une grande confiance dans leurs investissements ou le risque de conflit et de
grève sera amoindrit.
Les investisseurs pourront vendre leurs actions à d’autres
investisseurs à la condition que les actions soient vendues à des personnes
physiques de citoyenneté européenne. Si les personnes ne sont pas citoyen
européen, il faudra que le parlement européen au 3 cinquième, accord
l’autorisation de l’achat de ces actions à la bourse des investisseurs.
Quant au personnel qui
possède des actions, il pourra les revendre grâce à une bourse du personnel
après avoir au moins été propriétaire durant 5 ans de ces actions en les
revendant à d’autres membres du personnel respectant les conditions
d’achats : être membre du personnel au moins 3 ans et ne disposant pas
plus de 3% du capital de la société.
On peut conclure en disant que le rôle de l’Etat européen
serra le rôle d’arbitre entre 2 joueurs que sont le personnel et les
investisseurs.
Ce système permet de
supprimer la notion de nationalisation qui est une forme jacobine de l’Etat.
Il permet aux citoyens
européens de jouir pleinement de leur pouvoir ; d’éviter les conflits par
la participation de tous à l’intérêt commun de la société.
Cette européanisation de la
société est une troisième voie contre le capitaliste sauvage et le contre le
monopole de l’Etat .
Pour nous l’économie a pour
but d’améliorer les conditions de travail du personnel et d’augmenter le
pouvoir d’achet de chaque citoyen européen.
On interdit ainsi la
formation de sociétés multinationales qui sont au dessus des lois et qui
écrasent les gouvernements, donc les citoyens.
Par la même occasion,
Ainsi seul «
l’européanisation « pourra permettre au personnel de contrôler les
investisseurs brigands sur l’application de la loi sur les licenciement abusif
des sociétés bénéficiaires. Nous affirmons que les grosses sociétés qui font
des bénéfices n’ont pas le droit de licencier du personnel, sans accord de
l’Etat fédérale.
Maintenant il faut définir
qu’elles seront les sociétés correspondantes à cette européanisation : Ceci
est très simple.
Toutes sociétés employant
plus de 100 personnes peut être considérées comme société européanisant et
correspondante à cette loi sur l’européanisation.
Seul les sociétés de moins de
100 personnes seront considérer comme des sociétés à taille humaine, qui
n’auront pas a subir la loi de l’Européanisation.
Par contre les sociétés à
taille humaine ne pourront pas être côté à la bourse des investisseurs.
Ecrit à Paris par GOBILLON
Michel, le 2 décembre 2012.
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